Baboucherouge lance un défi sur la "bouderie" …
Je joue donc hors concours car je n’aurai pas le temps de tout suivre !
Je laisse ma créa "vite faite" juste pour rire !
Nouveau
La route fleurie …
Non, il ne s’agit pas d’errer,
Seulement éprouver un peu de liberté,
Pas tout le temps, on nous rappelle à l’ordre,
Nous avons nos règles et nos lois,
Qui souvent sont plus justes et plus sévères,
Que celles de vos rois !
Nous mettons en avant la fierté,
Fierté d’être justes,
D’être tolérants,
Fierté d’être humbles,
De vouloir être libres,
Bref de vivre !
Au gré du vent,
Au gré des champs,
Faire l’amour à sa guitare,
N’a rien de barbare,
Il en ressort des sons vibrants,
Oui, nous sommes amants,
Elle nous fait chanter, danser,
On en oublie les affreux étés,
De partout, chassés,
On voudrait de temps en temps vivre en paix …
Pouvoir s’endormir dans les blés,
Puis reprendre la route,
Sans GPS, juste avec l’étoile du berger,
Non, nous ne sommes pas étrangers,
Comme vous, on ne fait que passer,
Sur la même terre que vous foulez …
Nous, les gens du voyage,
Nous passons avec nos bagages …
(dont un de ses grands pères voyageait…)
Quand Van Gogh joue du saxo …
Il est revenu !
Il ne peint plus,
Il joue du saxo aussi bien qu’il a joué du pinceau !
On resterait des heures à battre la mesure,
Van Gogh est devenu jazzy …
Je suis restée scotchée …
Il était là dans l’encoignure de la Cathédrale,
Est-ce lui qui, le soir prend la place de la gargouille juste au dessus ?
Quand Van Gogh joue du saxo …
C’est si beau !
Il ne nous voit même pas,
Tellement il est dans son art,
Je sais ce que veut dire "battre le pavé",
Car un bon moment, je suis restée …
J’y retournerai …
On l’applaudit mais un autographe, j’y demanderai !
Une vidéo je ferai …
Sur le Net je le mettrai …
Chapeau et bouche bée …
Au pif !
On a parlé du nez de Cléopatre,
On a parlé du nez de Cyrano,
Mais si vous regardez la Météo,
Parlons du nez de la France,
Si la pointe était plus Raz,
Si on faisait une rhinoplatie à Brest …
Il y pleuvrait beaucoup moins !
A chaque fois ce pauvre pif est dans la trajectoire,
Du flux froid et mouillé,
Forcément il s’enrhume
Bien jolie tout de même cette brume,
L’Océan lui donne de grandes claques,
Mais les rocs et la péninsule résistent,
Si … la pointe était plus Raz,
Cela aurait il changé la face de la France et des Bretons ?
Kl@r@ et ses "si"
Paradis vénitien …
Un peu tôt pour l’été indien ?
Un air frais, soir nuit et matin,
Puis la chaleur douce revient,
Qu’est-ce qu’on est bien !
Il y a de l’ombre pour les roux,
Du plein soleil pour les foncés,
De la fraicheur, pour dormir sereins,
Que j’aimerais que ce temps perdure,
Je donnerais cher, j’vous jure !
Il y a du plaisir pour chacun,
Il suffirait juste un peu de pluie certaines nuits,
Bien annoncée à l’avance, pour fermer les vélux,
Et ne pas arroser pour économiser le contenu des arrosoirs,
On dit l’été indien ….
Moi je dis ‘tout en un":
Le printemps, l »été, l’automne …
Sans brouillard, sans verglas, sans sanglots monotones,
Juste les violons ….
Dans nos yeux des paillettes,
Dans nos coeurs, de la chaleur,
Pas d’autres frissons que ceux du plaisir,
Jouïssons de cette 5° saison …
La rentrée au diapason,
Gai, gai, les polissons …
Au rencart les idées noires,
P R O F I T O N S !
Fr@ne au paradis
Le chant du perdreau …
Ce chant triste, mais si beau,
Quel était donc cet oiseau ?
Rossignol ou perdreau…
Quel est donc le chant du perdreau ?
Pourtant je l’ai entendu,
Chanter même je l’ai vu,
Juste avant qu’il ne cesse son vol,
Tombant comme une casserole,
Il a sifflé : Les fusils, faut les casser …
C’était son chant, juste avant de de s’écraser,
Dans l’eau, emporté par le flux du rû,
S’il lui restait encore une chance, c’était fichu !
Je me souviendrai du chant du perdreau …
Et du sourire du chasseur…
Son chien, courant dans l’eau…
Pour rattraper la dépouille de l’oiseau…
Au fil de l’eau …
Pataud …
J’ai pensé si fort lui faire un croche -pied…
Que dans l’eau , aussi il est tombé !
Penaud !
Fichez la paix à nos oiseaux !
Ils sont si beaux …
Plein le dos
Le dos au mur,
Doucement je murmure,
Non, je n’aurai pas de blessure,
Tout restera pur,
Le dos au mur,
L’étagère tient bon
Elle soutient des choses de bon ton,
Des pieds au menton,
Le dos au mur,
L’affiche est collée,
Il pleut sur elle, qui va décoller,
Ses dessins sont délavés,
Le dos au mur,
J’ai appuyé mon échelle,
Pour monter sur elle,
Et voir la Tour Eiffel,
Le dos au mur,
Je regarde les gens en face,
Leurs pinceaux laissent des traces,
Ils dessinent la victoire de Samothrace …
Le dos au mur,
Il ne peut reculer,
Il ne peut avancer,
Il est coincé ….
Le dos au mur,
C’est très inconfortable,
Surtout si il est crépi,
Et lui pas décrepi …
Le dos au mur,
Le dos au mu
Le dos au m
Le dos au
Le dos a
Le dos
Le do
Le d
Le
L
:
:
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Kl@r@ s’amuse …
Le vent et le roseau …
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Découvrez Nana Mouskouri!
Découvrez Nana Mouskouri!
Le vent caresse le roseau…
Tout au bord de l’eau,
Il se plie doucement,
Lentement, il ressent
La douceur d’un alizé,
Comme si c’était un baiser,
Laisse toi faire,
Souffle sans te taire,
Dis … en écho,
Comme le roseau a chaud,
Comme le vent est doux,
Rien que pour nous …
Ky@ ~FR@NE
Estoc !
Quand les rides d’expression,
Commencent à devenir papier-crépon,
Quand on aperçoit un poil sur le menton,
Quand les rides jolies du coin de l’oeil,
Deviennent éventail en deuil,
Quand on préfère ne plus prendre le miroir grossissant,
Pour se laver les dents …
Epiler les sourcils à vue d’oeil, nu,
Pour éviter de voir des choses malvenues,
Quand on évite de trop rire,
Pour être moins plissée, ou pire …
Bon, là FAUT ARRETER … les konneries!
Je ris et ZUT si la peau ne suit plus !
Je suis bien au dedans,
Alors, miroir : "fiche le camp"!
Morale : les sexygénaires, ôtez vos lunettes à la salle de bains !
vous vous en porterez bien …
Fr@ne et toc !
Vert comme …
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Découvrez la playlist verte campagne avec Jean-Claude Pascal
Un air dans ma tête …
Une vieille chanson de mon enfance,
Qui sans cesse me relance,
"Verte campagne, où je suis née,
"Douce compagne de mes jeunes années…"
Je ferme les yeux et je sens la résine de mes sapins,
Là , où je m’enforestait,
Quand plus rien n’allait …
Et là tous mes soucis s’envolaient …
"Verte campagne où je suis née,
"Douce compagne de mes jeunes années …"
Où que je sois, j’ai besoin de voir de ce vert …
Pour étancher ma soif,
Des arbres de n’importe quelle essence,
Ca n’a pas d’importance,
Merci, pour respirer de l’air non vicié,
Juste sous les branches,
La tête levée, vers la cime,
Appuyée sur le tronc,
Je m’enracine,
Là où je suis,
Pourvu qu’au moins un arbre il y ait …
"Verte campagne où je suis née,
"Douce compagne de mes jeunes années …"
Kl@r@ qui respire …
Klara la brune, al et la lune 